Allez, on va pas se mentir : t’es venu pour la musique, les potes et les vibes de folie. Mais entre deux pogos et une sieste sous la tente, t’as aussi un petit rôle à jouer pour éviter que ton festival préféré se transforme en décharge à ciel ouvert. Voici comment kiffer sans ruiner la planète (ni ton karma)
Tu veux pas marcher dans un reste de kebab à 10h du mat’, alors pense aux autres : ramasse tes déchets, trie quand c’est possible (la plupart des gros festivals mettent des bacs de tri !), et si t’as un doute, garde-le dans ton sac jusqu’à la prochaine poubelle.
Ramène ta gourde réutilisable (oui, même les festivals cools autorisent ça maintenant), ton éco-cup, et même tes couverts si t’es chaud. Tu réduis direct ta conso de plastique, et t’as l’air archi stylé.
Les tentes abandonnées, les matelas percés laissés sur place… on connaît le carnage. Ramène du matos solide, que tu pourras réutiliser (ou filer à un pote l’an prochain). Pro-tip : y a des marques qui font du matos camping éco-conçu à prix cool.
Tu veux rester frais·che sans gaspiller ? Teste les lingettes lavables, les shampoings secs ou les douches collectives rapides. Pas besoin de vider une citerne pour se sentir humain·e.
Covoiture, prends le train, la navette, le poney si besoin (ok, peut-être pas le poney). Mais évite de venir seul·e en voiture si tu peux l’éviter. En plus, ça te fait des potes en plus pour l’apéro du jeudi soir.
Le look festoch c’est la base, mais pas besoin de claquer du neuf à chaque fois. Pioche dans du seconde main, upcycle tes fringues ou fais tourner avec ta bande. T’as du style et t’écrases pas la planète.
Certains festivals proposent des ateliers green, des stands de récup, des toilettes sèches ou des systèmes pour compenser ton empreinte carbone. Jette un œil, participe, et deviens le festivalier·ère 2.0 que Gaïa attend.
T’as pas besoin de devenir moine bouddhiste zéro déchet pour faire ta part. Juste quelques gestes simples, un peu de bon sens, et beaucoup de fun. La planète te dira merci. Et nous aussi.